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Si l'on s'en tient à l'étymologie, la paléopathologie est l'étude des maladies anciennes. Ce terme, créé en 1892 par RW Shuffeldt et tombé dans l'oubli, est "réinventé" en 1913 par un lyonnais 1 Marc Armand Ruffer (1859-1917) lors d'études anatomo-pathologiques qu'il fit sur des momies égyptiennes, tant humaines qu'animales. R.L. Moodie, en 1923, devait élargir le champ d'étude englobant " not only the diseases on the mummified animal and human remains of Egypt, but those of prehistoric man and fossil vertebrates as well" . En effet, le paléopathologiste aura, souvent, affaire à des ossements humains (ou animaux ) et plus rarement à des corps momifiés.
A la différence de l'anthropologie moderne
qui tend, de plus en plus, à enfermer le
phénomène humain dans un
cadre
mathématique, beaucoup trop rigide, en
oubliant qu'elle est avant tout une
science "naturelle" , donc d'observation,
la
paléopathologie est, et ne peut être,
qu'une discipline observatrice et partant
de là, comparative. L'étude de ces facteurs, ou écologie, prend une place de plus en plus importante parmi les sciences de la Vie. M.Wasserman a inventé la notion d' éco - système humain 2, dans lequel trois environnements ( biologique, physique et socio - culturel ) agissent sur l'Homme qui, à son tour, peut réagir sur eux. Cette réaction peut s'effectuer de deux manières :
Parmi ces facteurs "écologiques", le traumatisme sous toutes ses formes joue un rôle très important dans la pathologie, aussi bien ancienne que moderne. C'est ainsi qu'aux enfoncements crâniens et fractures des membres par armes lithiques (silex, obsidienne, etc...) observées au cours de la préhistoire, vont succéder les plaies par armes blanches dès l'Age du Fer. Tout comme le médecin-légiste le paléoanthropopathologiste va être amené à examiner et à décrire le squelette de sujets ayant péri de mort violente. Son "expertise" ne sera complète que dans la mesure où il pourra déterminer la nature de l'arme ou de l'objet traumatisant. On comprend alors tout l'intérêt que pa1éopathologie pourra tirer de contacts fréquents avec l'archéologie et la préhistoire, elles seules pouvant affirmer l'utilisation de telle ou telle arme à une époque déterminée. Inversement, en partant du diagnostic comparatif de certaines blessures, le paléopathologiste pourra être amené à démontrer l'utilisation d'une arme, antérieurement à la date admise par l'archéologue, il en sera même pour un autre type de traumatisme, qui concerne surtout les époques préhistoriques : morsures de grands fauves. Ces blessures sont, il est vrai beaucoup moins fréquentes que les précédentes. L'examen sera grandement facilité par la connaissance de la faune contemporaine de l'individu blessé, d'où l'intervention du paléontologiste animal. Les trépanations, les déformations crâniennes, les mutilations volontaires (des membres, des dents) etc..., les exemples sont nombreux de cas de macro ou micropathologie, pour lesquels on peut retenir une étiologie écologique, au sens large. En définitive, la paléopathologie apparaît comme une science indispensable dans la connaissance de Homme ancien, aux côtés de l'anthropologie, de la médecine et de l'écologie
2
-
Les recherches du laboratoire en paléopathologie
humaine
Le laboratoire s'intéresse depuis de longues années aux maladies ainsi qu'aux blessures identifiables sur les vestiges squelettiques humains, pour des périodes allant de la Proto-Histoire au Moyen - Age, avec une préférence marquée pour cette dernière période.
Le crâne est la cible de prédilection des coups portés lors d’affrontements ( avec la possible thérapie sous forme de trépanations ) et c'est donc la traumatologie crânienne qui domine largement. Nous ne citerons ici qu'un cas qui n'est pas manifestement traumatique : il concerne un amincissement bipariétal pour lequel se pose l'étiologie : si ces lésions ne semblent pas dues à un coup direct on peut cependant envisager l'hypothèse de micro-traumatismes liés au port répétitif d'une charge lourde sur le sommet de la tête [19]! De nombreux cas de blessures de cette zone ont été relevés mais il n’est pas question de les répertorier tous ici. Nous signalerons seulement à titre d’exemple, le cas du sujet de la petite nécropole médiévale de Creuzier - le - Vieux, près de Vichy, dans l’Allier (cf.fig.1) dont le crâne présente à décrire des perforations traumatiques dues à une arme tranchante pour laquelle s’était posé le diagnostic différentiel d’épée ou de hache ( avant d’opter pour cette dernière ). Les blessures se répartissent en trois niveaux principaux ( fronto - pariétal, pariéto - occipital, temporo - zygomatique). Le premier coup a été porté de face, sur la partie gauche de la calotte, en biais, l’assaillant étant donc droitier et plus petit (ou plus bas) que la victime. Les coups suivants ont été assénés, le blessé étant tombé face contre terre, pour l’achever ou peut - être pour le mutiler. [7 - 28]
D’une manière générale, pour l’ensemble de la traumatologie crânio - faciale, trois étiologies peuvent être retenues
Chez les Préhistoriques, c’est le premier type de blessures qui domine (83 % des cas ) en rapport évidemment avec un armement essentiellement lithique. Chez les Médiévaux, au contraire, la priorité revient aux entailles (60 %). Les blessures par flèche sont toujours rares ( respectivement 4 et 3 % ). En ce qui concerne la topographie des lésions, on remarque la “ royauté traumatique ” du pariétal, quelle que soit l’époque : 39 % chez les Préhistoriques, 45 % chez les Médiévaux. Viennent ensuite le frontal (17 % pour les deux époques), la face (8 et 11 % respectivement), puis les autres os crâniens. Si l’on regroupe frontal et pariétal, c’est - à - dire la partie antéro - supérieure de la tête, elle est concernée à 74 % et 69 %, soit une moyenne de 71,5 % pour les deux époques !
2.2 - Paléopathologie post - crânienne
Par commodité, le terme de “post - crâne”désigne l’ensemble du squelette comprenant le rachis, la cage thoracique, les ceintures et les membres.
N'ont été retenus comme traumatiques que les fractures vertébrales et les tassements cunéiformes ( Kummel - Verneuil ) en laissant de côté les hernies spongieuses ( Schmorl ) dont l’étiologie est plus complexe, à la fois trophique et traumatique. Par rapport à l’ensemble du matériel étudié, le rachis apparaît peu traumatisé.On signalera seulement deux cas médiévaux : le premier concerne un sacrum masculin ( nécropole de Roanne, Loire ), présentant une fracture consolidée siégeant entre les 3ème et 4ème pièces sacrées, et passant en arrière au niveau du hiatus sacralis, le second correspond à une 4ème lombaire ( nécropole de Creuzier - le - Vieux, Allier ) présentant un tassement cunéiforme [5 -12]. Cette rareté des traumatismes rachidiens est confirmée par une étude statistique effectuée sur 449 traumas ( 229 préhistoriques et 220 médiévaux )[17]
Quelques cas de fractures costales (jamais du sternum) consolidées, ont été rencontrées pour l’époque gallo - romaine, à Lyon [3]. . 2.2.3 - Squelette appendiculaire
Il présente de nombreux cas de fractures [17] Nous en retiendrons trois parmi les plus intéressants, concernant un talus et deux fémurs.
Comme pour la traumatologie rachidienne, nous nous sommes livrés à une étude statistique des cas de fracture des os longs dont le résultat fonctionnel était connu : le nombre total est de 215 fractures ( dont 132 pour les époques préhistoriques ).98,5 % des fractures préhistoriques sont consolidées (en regroupant les fractures quel que soit le développement du cal ) contre 94 % pour celles médiévales. La pseudarthrose est peu importante (1,5 et 6 % respectivement) avec cependant une augmentation importante pour le Moyen -Age : 4 fois plus! Cette constatation nous a amenés à supposer que beaucoup de traumatisés médiévaux se confiaient a un rebouteux local à la compétence douteuse, parce que les vrais chirurgiens leurs étaient, géographiquement ou financièrement, inaccessibles [17]
2.3 - Les proliférations osseuses
Lors d'une atteinte pathologique l’os ne réagit que de deux façons, soit par processus dégénératif ( perte de substance ), soit par processus prolifératoire ( excroissance). Dans plusieurs cas, nous avons été confrontés à des proliférations osseuses d’étiologie et de terminologie diverses: ostéome, osteosarcome, osteocarcinome, exostose. Alors que les ostéophytes ne sont pas des tumeurs mais une réaction localisée, d’origine inflammatoire, les ostéomes, ostéosarcomes et ostéocarcinomes sont de véritables tumeurs ( néoplasmes ) bénignes pour les premiers, malignes pour les deux autres. Au niveau des exostoses, on est amené à distinguer celles isolées de celles multiples. Les exostoses isolées se rapprochent beaucoup des ostéophytes, étant comme eux non tumoraux mais une réaction à une blessure ou à une irritation. Les exostoses multiples obéissent à un déterminisme héréditaire et par conséquent ont une étiologie très différente.
Nous avons fréquemment rencontré ce type de proliférations au niveau du rachis. A titre d’exemple, signalons le beau cas de spondylarthrite ankylosante provenant de la chapelle Saint - Gérald de Givors, Rhône. On note une importante coulée ostéophytique unissant entre - eux les corps vertébraux et donnant le classique aspect en "colonne torse", "vis de pressoir" ou "tige de bambou" [24].
Lors du Premier Meeting européen de la Paleopathology Association ( Londres, en 1976 ), nous avons présenté le cas d’un sujet médiéval ( château Saint - Loup, Boyer, Saône - et - Loire) montrant une tumeur de la masse latérale droite de l’ethmoïde. L’étude détaillée a permis de considérer cette formation anormale comme étant un ostéome spongieux fait de travées osseuses limitant des cavités remplies de moelle fibreuse [9 - 27].
En dehors d'un remarquable cas animal (cf.§3), on retiendra 8 cas d’exostoses tibiales, allant du Néolithique au Haut Moyen - Age, et pouvant être considérées comme une répercussion osseuse d’une ulcération variqueuse du système veineux jambier [21].
Dans le matériel osseux provenant de la nécropole médiévale de Néris - les - Bains (Allier) fouillée en 1969, a été mis au jour un sujet masculin présentant un cas assez exceptionnel de maladie exostosante (cf.fig.4). On sait que cette affection appartient au groupe des chondrodysplasies génotypiques, caractérisées par une altération chromosomique entraînant une anomalie dans l’ossification de la maquette cartilagineuse des os de formation enchondrale.
Le sujet de Néris - les - Bains
[10 - 26]
présente l’ensemble des lésions qui sont pathognomoniques de
la maladie exostosante :
Dans les sépultures mérovingiennes en sarcophages de Creuzier - le - Vieux, Allier [7 - 28] nous avons eu l’occasion d’étudier un autre exemple de pathologie génétique. Il s’agit d’une enfant de 5 ans présentant une crâniosynostose de la sagittale au niveau des segments SI - S2 et S3.
L’étiologie virale est malaisée à établir. Cependant, dans les vestiges osseux exhumés en 1971 - 1972 dans l’abbaye de Saint - Victor de Marseille (cf.fig.5), on a pu mettre en évidence, chez un sujet féminin ( datable du Vème siècle après J.C.) un pied ( le droit ) creux talus avec atrophie des muscles de la jambe, d’origine très vraisemblablement poliomyélitique [18 - 25].
2.6 - Paléopathologie arthrosique
Sa complexité et le fait qu'elle puisse concerner tous les étages squelettiques justifie, plus qu'amplement, sa place à part dans les travaux du laboratoire. Le Dr. Ludovic Debono a soutenu le 13 mai 2006, une Thèse de Doctorat en Science [4] qui présente les résultats de l'étude anthropologique et paléopathologique du squelette post-crânien de 776 adultes exhumés de la nécropole historique de Notre-Dame-du-Bourg (Digne, Alpes de Haute Provence, France, 4e-17e siècle) : une grande partie de la thèse est consacrée aux lésions arthrosiques des membres. De son côté le Dr. Michel Billard qui s'intéresse, depuis de nombreuses années, à la paléoépidémiologie de cette pathologie, a soutenu le 12 octobre 2007, une Thèse de Doctorat en Science [2] concernant plusieurs séries néolithiques et protohistoriques d'Auvergne. Il remarque que parmi 166 squelettes de préhistoire récente d'Auvergne (France) l'arthrose concernait plus le coude au Néolithique (33.3% ; 16/48) et à l'Age du Fer (24.4% ; 11/45), et le poignet à l'Age du Bronze (23% ; 9/39). La coxarthrose progressait de 17.4% au Néolithique (8/46) à 23.5% à l'Age du Fer (12/51), la gonarthrose diminuait respectivement de 18.2% (6/33) à 13.9% (5/36). Les contraintes physiques des activités quotidiennes qui expliqueraient cette distribution de l'arthrose, ainsi que le développement agricole, avec déboisements successifs, tout comme la position accroupie genoux fléchis devant le développement de l'arthrose fémoro-tibiale externe, ou le port de charges sur la tête avec l'importante cervicarthrose au Néolithique, ont été avancés comme étiologie possible à cette arthrose qui finalement plus qu'une maladie apparaît être un véritable syndrome.
3- Les recherches du laboratoire en paléopathologie animale
Malgré la présence fréquente d'ossements animaux ( parfois pathologiques) mélangés aux vestiges osseux humains étudiés, le laboratoire a [par manque de temps et de spécialistes] peu consacré de travaux à la paléopathologie animale, bien qu' ayant présenté, dès 1972, un cas intéressant d'exostose isolée appartenant à un Machairodus ( gisement de Senèze, Haute - Loire) [22]. Cet os pathologique, un humérus droit, montre sur la face latérale de sa diaphyse une excroissance volumineuse bifide, a la jonction des 1/3 supérieur et moyen, au niveau de la crête deltoïdienne. La partie supérieure dirigée vers le bas, forme un bec irrégulier, pointu, légèrement érodé vers son extrémité. Les caractéristiques radiologiques ( homogénéité nette de l’os médullaire et périmédullaire) permettent d’en faire une exostose isolée véritable. Une telle formation osseuse peut obéir à deux étiologies différentes, entre lesquelles il n’a pas été possible de trancher, à savoir :
1 - Il n'est pas anodin de rappeler que c'est également à Lyon, 60 ans plus tard, en 1973, qu'a eu lieu le 1er Colloque français de Paléopathologie [1-6] et que Pierre Morel et Raoul Perrot ont créé l'un des deux premiers enseignements universitaires français de paléopathologie : la priorité revenant à Mirko Drazen Grmek, qui , à Paris, un an plus tôt, en 1972, organisait un cours de paléopathologie à la Sorbonne. Cet enseignement se poursuit actuellement, sous la responsabilité de Pierre Thillaud. 2 - Nous renvoyons le lecteur intéressé au bas de la deuxième page du cours polycopié "Anthropobiologie anatomique".
[1] Actes du Premier Colloque Français de Paléopathologie, 1973. Travaux et Documents /1975 - Tome 2 - Volume 2. [2] Billard (M), 2007. Paléoépidémiologie de l'arthrose sur des séries ostéo-archéologiques néolithiques et protohistoriques d'Auvergne, Thèse de Doctorat en Science (Lyon 1)[Volume 1 /Volume 2 Annexes] [3] Cochet ( A.) et Perrot ( R.), 1980. A propos d'un sarcophage en plomb, d'époque gallo-romaine, conservé au musée de Fourvière ( Lyon ), Travaux et Documents / Tome 5 - Volume 1-2 -Mélanges 2, p.135. [4] Debono (L), 2006. Evolution diachronique (anthropologique et paléopathologique) du squelette post-crânien des adultes d'une population historique du sud-est de la France ( nécropole de Notre Dame du Bourg, Digne, 4°-17°siècle après JC). Thèse de Doctorat en Science ( Lyon 1) [5] Faure Cl., Gonon G.P., Mallet Cl., Perrot R., Plaza R. et Spanta A.D..1980. Contribution à l'ostéométrie ( proposition de mensurations ) et à la paléopathologie du rachis médiéval. Travaux et Documents / 1980 - Tome 5 - Volume 1-2 -Mélanges 2, p. 21. [6] Perrot ( R.), 1974. Compte - rendu du Colloque de paléopathologie de Lyon, 23 Septembre 1973. Cahiers méd.lyonnais, 50,11,991-994. [7] Perrot ( R. ), 1976(1). Deux cas de pathologie crânienne médiévale. Bull.Mém. Soc. Anthrop. Paris, 3, XIII, pp. 307 - 317. [8] Perrot ( R. ), 1976(2). A prehistoric (Copper Age) case of “osteochondritis dissecans tali”. I th European Meeting of the Paleopathology Association , Londres. " [9] Perrot ( R. ), 1976(3). A probable case of osteoma of the “labyrinthus ethmoidalis” in a medieval skull. I th European Meeting of the Paleopathology Association , Londres. [10] Perrot ( R.), 1977. Compléments anthropométriques et iconographiques au cas de maladie exostosante présenté au Colloque de Paléopathologie de Lyon en Septembre 1973 , Travaux et Documents / 1977- Tome 4- Volume 1-Mélanges 1 p.89. 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Etiologies possible. Travaux et Documents / Tome 4- Volume 1-Mélanges, p.21. [22] Perrot ( R. ), Morel ( P.) et Ballesio ( R.), 1972. Les proliférations osseuses en paléopathologie, les exostoses isolées à propos de l’humérus d’un Machairodus découvert à Senèze (Haute - Loire).Cahiers méd. lyonnais , 48, 32, 3647-3658. [23] Perrot ( R.),Gonon ( G.P.) et Morin ( A. ), 1980. Aspects paléopathologiques de vestiges vertébraux d’époque médiévale. Anthropologia contemporanea, 3, pp. 97 - 104. [24] Perrot ( R. ) , Morel ( P.) et Buffard (R.).1975.Un cas typique ( XVème - XVIème ) de spondylarthrite ankylosante associée à une coxarthrose bilatérale, provenant de la Chapelle Saint - Gérald, 69, Givors ). in Actes du Premier Colloque Français de Paléopathologie, Lyon, 13 Septembre 1973. 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Sépultures mérovingiennes en sarcophages de Creuzier- le-Vieux (Allier),Travaux et Documents / Tome 4, Volume 2 , p.129
Dernière mise à jour de la page : 20/11/2014
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